D'après ces deux panneaux, il est plus probable de croiser un mouton qu'un humain. La réalité est assez proche. Même au coeur de la saison touristique (juillet/août), le mot "foule" ne doit pas exister dans la langue islandaise. En dehors des deux principales villes (Reykjavik et Akureyri), nous étions le plus souvent seul ou entouré au maximum d'une dizaine d'humains.
Le rapport entre humains et moutons est le suivant :
"Ils sont deux fois plus nombreux que la population humaine de l’île, soit environ 700 000 moutons." (Source)
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